Since Plato’s Republic, philosophers have outlined their expectations for political leaders and have offered judgments on the actions and decisions made by political leaders in their given context. It turns out that the American philosopher, William James, participates in this philosophical tradition. Although it has been assumed by professional philosophers—and even scholars of William James’s work—that James has no political philosophy, we argue that James’s political philosophy becomes both practical and useful for making judgments about and against political leaders.

Hastings Center Report, Volume 52, Issue 2, Page 10-14, March‐April 2022.

Au coeur du parcours philosophique d'André Jacob, qui enseigna la philosophie du langage et l'éthique à l'université de Paris X de 1966 à 1990 et a dirigé l'Encyclopédie philosophique universelle aux P.U.F. entre 1980 et 1998, ce volume s'ouvre avec le texte inaugural (prononcé au Congrès mondial de Philosophie à Brighton en 1988) "De la théorisation de la condition humaine" qui l'a toujours retenu : "Une Anthropo-logique : comprendre ou expliquer l'homme?" ; suivi de six autres conférences, appelant à (...) être relayées par une éthique renouvelée correspondant à la seconde partie de l'ouvrage. Une axio-genèse y apporte sa signifiante au "devenir Sujet" du corps, dans un versant d'altérité. On croisera le parcours singulier "de la langue au mal" dans le débat avec Robert Lafont, initiateur d'une praxématique linguistique à Montpellier, comme dans la Postface d'Hervé Barreau. A côté de conférences à l'UNESCO (1991), à Houston (1993) ou à Tokyo (1997), dont "Temps et liberté" (2000) pourrait annoncer l'éthicité ; tandis que "Langue et pouvoir" (2009) éclairera plus directement la figuration anthropo-logique, impensable dans les philosophies de la conscience traditionnelles. La diversité des approches pourrait compléter les témoignages venus d'horizons différents, lors d'un Colloque récent à l'E.N.S. de la rue d'Ulm sur Les conditions de l'humain, autour de la pensée de l'auteur, à paraître. (shrink)

Il y a plusieurs manières de penser la mort : en«s’exerçant à mourir », c’est-à-dire en acceptant notre finitude, ou bien en promettant d’« en finir avec la mort », en affirmant une vie plus originaire que l’opposition entre vie et mort. Afin de comprendre quelle conception défend Derrida, l’on interroge ses analyses portant sur le deuil et la survivance. L’on montre que, pour échapper à la fois à l’aporie de la relève et à celle de la finitude, il a (...) recours à la littérature ; notamment aux écrits de Blanchot qui esquissent le motif d’une « mort sans mort », de la « demeurance » d’un survivant qui resterait en instance de mourir, dans un interminable deuil de soi. De cette expérience auto-bio-thanatographique, se distingue cependant celle d’autres écrivains comme Artaud qui affirment l’entrelacement de la vie et de la mort sous le primat de la vie. (shrink)

Este trabajo estudia el concepto de virtud moral a partir de dos obras de san Gregorio de Nisa, a saber, De professione Christiana yDe perfectione, pertenecientes a la etapa inmediatamente anterior a la madurez de su autor, signada sobre todo por el De vita Moysis,que mucha atención ha merecido. Sin embargo, algunas de las tesis características de esta última obra se encuentran ya trazadas en las primeras dos, especialmente la propuesta de que la virtud es una tarea inabarcable e infinita, (...) como infinita es la naturaleza de Dios. Por ello, el artículo estudia, primero, en qué consiste la infinitud divina de acuerdo con el Niseno, siguiendo para ello, específicamente, el Contra Eunomium; luego, hace lo propio en relación a la antropología filosófica que, desde la visión de este trabajo, resulta ser el puente entre el ámbito metafísico y el moral, pues infinita es también la labor moral del hombre, y, finalmente, expone en qué consiste la virtud moral en las dos obras mencionadas. (shrink)

En este trabajo, el autor busca describir críticamente de qué manera el filósofo Giuseppe Buroni entiende el concepto de filosofía itálica, que por aquellos años ya había sido cultivado por autores como Mamiani y, sobre todo, por Rosmini. El sello de la filosofía itálica se encuentra plasmado sobre todo en la distinción entre los ámbitos inteligible y sensible, es preciso mantener separados, aunque eventualmente se entrecrucen. De acuerdo con Buroni, esta postura puede rastrearse al menos ya en Parménides, pero aparece (...) “formalizada” sobre todo en la filosofía de Platón, al que se dedica este artículo. Una manera de abordar esta distinción de planos ontológicos resulta ser la distinción gnoseológica entre opinión (δόξα) y ciencia (ἐπιστήμη). Cabe apuntar, por último, que la bibliografía sobre Buroni en los tiempos más recientes es muy escasa, y seguramente esto se debe a que sus obras filosóficas no han sido reeditadas desde su publicación original en el siglo XIX. En la actualidad, sin embargo, quien esto escribe y Samuele F. Tadini cuidamos una edición crítica en italiano y castellano de la obra más importante del filósofo placentino: Dell´essere e del conoscere (Sobre el ser y el conocer). Esta circunstancia explica por qué la bibliografía de este artículo no resulta abundante. (shrink)

Existen pocos trabajos en los que se aborde la filosofía de José Romano Muñoz. Incluso en los manuales o exposiciones de conjunto de la filosofía mexicana aparece pocas veces referido su trabajo, aun cuando aparezca mencionado. Excepciones a esta apreciación son la Historia de la fenomenología en México de Antonio Zirión, quien le dedica algunas páginas, y Fernando Salmerón, quien le dedica algunas interesantes líneas en su La filosofía en México entre 1950 y 1975. En relación a la metafísica, el (...) filósofo zacatecano sostiene una version de existencialista, a la que gusta en llamar existencial, en la que sigue sobre todo planteamientos de Heidegger y Ortega. En cuanto a la ética, Romano piensa que los valores son directrices ideales que dan sentido y fin a la vida humana y, por ende, fundamentan la ética, que tiene como rasgo esencial ser valorativa. Es interesante tener presente la obra de Romano en cuanto divulgador de la ética fenomenológica a mediados del siglo XX en México. Si bien no es un autor original, y a veces no parece ser un intérprete del todo seguro de la misma fenomenología, al parecer de Zirión, o poco preciso en varias de sus expresiones, al parecer de Salmerón, no deja de ser loable su labor divulgativa. (shrink)

Des profondeurs, je crie vers toi, YHVH. / Seigneur, écoute mon appel! / Que ton oreille se fasse attentive au cri de ma prière! Psaume 130 Tu as crié vers Dieu tous les jours de ta vie, et tes jours se sont écoulés. Un autre alors t’a remplacé et il a crié durant ses jours à lui. Toi ici, lui là, un autre ailleurs […]. Il y a donc un homme unique qui dure jusqu’à la fin des temps et ce (...) sont ses membres qui toujours crient. Augustin, Commentaires sur les Psaumes Qu’est-ce que la phénoménolo... (shrink)

There’s a widespread intuition that if the only way an innocent person can stop her villainous attacker from killing her is to kill him instead, then she is morally permitted to do so. But why is it that she is permitted to employ lethal force on an aggressor if that is what is required to save her life? My primary goal in this paper is to defend David Rodin's fairly recent and under-recognized account of self-defense that answers this question. There (...) are roughly two kinds of non-consequentialist accounts of self-defense:'forced-choice' accounts and 'rights-based' accounts. I first examine what I take to be the most plausible 'forced-choice' account of self-defense and I argue that it is unable to withstand two recent criticisms. I then proceed to adjudicate between two prominent 'rights-based' accounts of self-defense: call them the Thomson/Uniacke account and the Rodinian account. Any rights-based account of self-defense must explain how it is that X, who villainously tries to kill Y, forfeits his right to life. I argue both that Thomson/Uniacke's explanation cannot account for the clear permissibility of killing a certain kind of aggressor in self-defense, and that the attempts that could be made to account for this permissibility are either ad-hoc or permit the killing of persons that are morally on par with innocent bystanders. I point out how Thomson/Uniacke can evade the seeming difficulties that I raise by only permitting lethal defensive force against culpable aggressors. But allowing defensive force to be employed only on the culpable goes against one of their central tenets. I then discuss the Rodinian account, how it evades the criticisms I raise, as well as its other virtues. I conclude that while it has difficulties of its own, it is the more plausible one to adopt. (shrink)

Un jour, j’aperçois Jean-Luc à la Bibliothèque universitaire. « Comment vas-tu, Jean-Luc? Il y a bien longtemps… – Ça va. Oui, ça va bien maintenant. Mais que veux-tu, la semaine dernière j’ai encore failli mourir. Et toi, comment ça va? ». J’avais fini par le surnommer Trompe-la-mort. Il aurait sans doute trouvé ce surnom terriblement naïf. Il m’aurait dit que personne ne parvient à la tromper jusqu’au bout. Que l’on peut sans doute mourir et renaître plusieurs fois, de même que (...) l’on se dé... (shrink)

Il y a dix ans mourait Jacques Derrida, reconnu dans le monde entier comme l'un des philosophes les plus importants du XXe siècle, et dont l'oeuvre suscite de nombreux commentaires en France et à l'étranger. Le présent essai se confronte à sa pensée dans un exercice "d'infidèle fidélité" : il s'efforce de rester fidèle à la "déconstruction" derridienne en essayant de la déconstruire à son tour. Ni réfutation polémique ni commentaire mimétique, il se propose de tracer dans cette oeuvre une (...) ligne de partage entre ce qui se laisse déconstruire et ce qui reste. De découvrir la part indéconsuuctible de la déconstruction, ses points de résistance, ses impensés : les "cryptes" de Derrida. (shrink)

En este trabajo, el autor expone una visión de la filosofía hilemórfica o analógica de la mente, que se yergue como alternativa de superación entre el monismo materialista y el dualismo cartesiano. Procede localizando, primero, el lugar que le corresponde a esta visión filosófica en el marco de otras corrientes de filosofía de la mente. Posteriormente, y en seguimiento de algunos filósofos hilemorfistas, expone las tesis principales de esta postura filosófica.

Betrachtet man die Geschichte des Begriffs ‚Phänomenologie‘, ist nicht auf den ersten Blick klar, was darunter zu verstehen ist. Wie Schuhmann (1984 ) herausgearbeitet hat, tritt dieser Begriff in der Philosophiegeschichte auf, noch lange bevor Edmund Husserl sich ihn zu Eigen machte, um sein eigenes philosophisches Projekt zu beschreiben. Auch hinderte Husserls Versuch, diesen Begriff für die Beschreibung seines eigenen einmaligen Projekts zu beanspruchen, seine Zeitgenossen (z.B. Pfänder, Reinach, Stein) keineswegs daran, denselben Begriff ebenfalls zur Beschreibung ihrer jeweiligen Projekte (...) und Methoden zu verwenden. Es versteht sich also, dass Husserl selbst beträchtlichen Aufwand betrieb, um zu definieren, was der Begriff ‚Phänomenologie‘ in seinen Augen zu bedeuten hatte. Zum Zeitpunkt der Publikation des ersten Buches seiner Ideen zu einer reinen Phänomenologie im Jahre 1913 charakterisiert Husserl Phänomenologie als eine neue Wissenschaft, die sich von jeder anderen, bereits geschichtlich verankerten Wissenschaft wie Physik, Psychologie oder Kulturwissenschaft unterscheidet (Hua III/1, 1). Diese Darstellung von Phänomenologie lässt auf Anhieb eine wichtige Abweichung von seiner einstigen Gleichsetzung von Phänomenologie und deskriptiver Psychologie in den Logischen Untersuchungen (1901) erkennen. In der breiteren philosophischen Landschaft wären angesichts Husserls positiver Bestimmung dessen, was diese phänomenologische Wissenschaft ist, möglicherweise auch heute noch viele genauso irritiert wie einige der damaligen Teilnehmer des VI. Kongresses für experimentelle Psychologie, denen Husserl 1914 erklärte: „Analog wie die reine Geometrie Wesenslehre des ‚reinen‘ Raumes bzw. Wissenschaft von den ideal möglichen Raumgestalten ist, ist die reine Phänomenologie Wesenslehre des ‚reinen‘ Bewusstseins, Wissenschaft von den ideal möglichen Bewusstseinsgestalten (mit ihren ‚immanenten Korrelaten‘)“ (Schumann 1914, 144-5). Was heute wie damals für ein Verständnis dieser Darstellung von Phänomenologie der Klärung bedarf, ist Husserls Beschreibung der Phänomenologie als einer Wesenslehre, d.h. einer reinen oder eidetischen Wissenschaft, ebenso wie seine Aussage, deren Untersuchungsgegenstand sei das von ihm sogenannte reine Bewusstsein. Nur indem man die beiden Bedeutungen von ‚rein‘ erhellt, die hiermit angesprochen sind, wird auch deutlich, inwiefern Husserl behaupten kann, Phänomenologie unterscheide sich von anderen Wissenschaften: sowohl von empirischen wie Physik oder experimenteller Psychologie als auch von anderen eidetischen Wissenschaften wie Geometrie und deskriptiver Psychologie. Diese Erläuterung zeigt nicht nur, inwiefern Phänomenologie von all diesen Disziplinen verschieden ist, sondern auch, inwiefern sie mit ihnen zusammenhängt – und damit ist gerade die Idee der Phänomenologie begründet. (shrink)